Article du Courrier Picard 8/8

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Article du Courrier Picard 7/8

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Article du Courrier Picard 6/8

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Article du Courrier Picard 5/8

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Article du Courrier Picard 4/8

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Article du Courrier Picard 3/8

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Article du Courrier Picard 2/8

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Article du Courrier Picard 1/8

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Ici l’Oise – Vidéo de Monsieur Olivier Paccaud, Sénateur de l’Oise
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Nouveau flyer 2022
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Le Samedi 19 et le Dimanche 20 Février, la Seigneurie de Lacheni a accueillie l’association Viking Norland – Einherjar Elag dans le cadre de leur assemblée générale.
De nombreuses associations amies se sont retrouvées pour croiser le fer mais aussi donner vie à notre petit village.
Convient il de rappeler que la plupart des habitants du nord de l’Europe étaient des paysans et des éleveurs. Un petit nombre se composait de marchands qui maitrisaient à la perfection l’art de la navigation.
S’ils ont peu laissé de vestiges archéologiques, les Vikings ont pourtant foulés les terres de notre région.
En l’an 859, la flotte Danoise établie à Oyssel, ayant remontée la Seine, attaque de nuit la ville de Noyon.
Les Vikings font prisonniers l’évêque de la ville, une partie des habitants, tant les clercs que les laïques, et après avoir ravagé la ville, ils les emmènent pour les tuer…
Crédit photos : Bachelet Zoé
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Recette Médiévale Crêpes
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Article Courrier Picard du 30 janvier 2022
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Le saviez-vous ?
On imagine un peu trop facilement les hommes du XIe et XIe siècle, engoncés dans les cadres rigides de la société féodale, les seigneurs attachés à leur donjon, à leur terre … Rien n’est plus faux : c’est un siècle ou l’on voyage beaucoup et le dynamisme occidental se trouve l’origine d’expéditions lointaines, impensables encore quelques décennies plus tôt !
Les vikings qui ont fait souche en Normandie, se sont parfaitement intégrés au monde français, en oubliant leur langue et leurs dieux, mais ils demeurent beaucoup trop remuants, et vont chercher de nouvelles aventures sous des cieux ensoleillés … Ils parcourent la France et certain se retrouvent même en Italie !
L’histoire des Normands en Italie, commence par une légende !
En 999, quarante chevaliers normands, de retour de Jérusalem, font escale en Italie méridionale. Or à cette date, une armée musulmane assiège Salerne, au sud de Naples. La situation parait désespérée aux habitants qui appellent à l’aide les Normands, et les quarante se portent au secours de la ville, massacrant les envahisseurs.
Malgré les vœux d’une population en liesse, ils refusent cependant de rester. Ils repartent vers leur Normandie …
Même si la réalisé est sans doute plus complexe, l’Italie apparait très vite comme un eldorado pour des chevaliers sans fortune. Le pays, fort divisé, comprend de petites principautés rivales, des territoires encore Byzantins et d’autres passés sous le contrôle des Arabes.
Des mercenaires aussi efficaces que les Normands sont très demandés …
Pierre Langevin
Médiéviste
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La galette des rois tire son origine des Saturnales (fêtes Romaines situées entre la fin du mois de décembre et le commencement de celui de janvier), durant lesquelles les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Ces fêtes Saturnales favorisaient en effet l’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme pour tirer au sort le « Saturnalicius princeps » (prince des Saturnales ou du désordre). Le « roi d’un jour » disposait du pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile. Cela permettait de resserrer les affections domestiques.
Pour assurer la distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service.
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